A partir de hoje vou começar a escrever um post em francês por semana, com um apanhado das minhas últimas experiências, para quem me quer ler em francês (e para quem não percebe português). O post mensal sueco será o meu próximo objectivo ;)
Voilà, comme vous avez sans doute compris je commence aujourd'hui à écrire en français dans mon blog au moins une fois par semaine. Il faut dire que j'ai un peu perdu l'habitude d'écrire en français donc ce n'est pas un mal que je m'y remette au moins de temps en temps.
Avant tout il faut que je résume un peu mes premières semaines à Lund. Je suis donc arrivée le 14 octobre dans l'après-midi, après un voyage en avion assez fantastique. J'ai pu le faire à la fenêtre et la vue était impressionnante, étant donné qu'on survole toute la côte Nord de l'Europe. J'ai atterri à Kopenhagen et pris le train pour Lund. Là encore c'est un beau trajet, je trouve toujours impressionnant de prendre le train sur l'eau. Ça m'a un peu rappelé les trajets pour l'université à Lisbonne, où je prenais le train qui traverse le Tage.
Mes premières impressions de Lund ont été très positives (elles le continuent d'ailleurs), les gens sont très sympathiques et c'est un très bel endroit. Ce qui me plait le plus c'est le fait d'habiter un peu dans la nature, où les couleurs d'Automne sont impressionnantes. Par contre j'ai eu un choc thermique un peu désagréable - je suis passée des 30ºC lisboètes aux 7ºC Suédois. Et encore, c'est le Sud, à Stockholm il fait bien plus froid. En ce moment je m'y suis fait.
Je me suis déjà occupée de ma "légalisation" au centre de migration à Malmö. J'en ai profité pour aller à Ikéa mais, manque de bol, ils étaient en train de déménager et donc c'était quasiment vide. J'ai tout de même pu m'acheter un édredon et un coussin pour avoir de quoi dormir.
La semaine dernière une des démarches que j'ai du entreprendre a été de m'acheter un vélo. Cela s'imposait: je prends, à pied, 30 minutes pour aller au centre-ville et 20 minutes pour aller au laboratoire. Comme promenade c'est sympatique mais comme obligation quotidienne c'est assez fatigant. D'autant plus que les journées sont courtes, et quand il fait nuit à la fin d'une journée de travail ce n'est pas très agréable de devoir rentrer à pied. Je pense avoir fait une plutôt bonne affaire, le vélo que je me suis acheté est exactement pour ma taille, presque neuf. Je me suis aussi achetée un casque pour rassurer mes parents. Et je le porte.
Je cherche aussi à appartenir à une nation, ce sera fait la semaine prochaine. Il s'agit d'associations d'étudiants qui ont des restaurants / bars, et qui organisent des activités, des concerts, des soirées, des matchs sportifs, etc. On est sensé participer à la vie de la nation, en prenant part aux différentes activités mais aussi en y travaillant (volontairement). Ça me permettra d'entrer en contact avec d'autres étudiants, en plus des gens du laboratoire et de ceux qui habitent mon couloir.
J'habite principalement avec des étudiants suédois, il y a aussi une américaine et un autrichien. Il y en a quelques uns avec qui je m'entend mieux et qui me servent actuellement de professeurs de suédois. D'autres ne surgissent que rarement et passent la plupart de leur temps dans leur chambre. J'ai l'occasion de me familiariser avec les habitudes suédoises (grands petits déjeuners!) et d'en savoir un peu plus long sur le système d'enseignement supérieur (totalement gratuit) et l'État-providence suédois. J'ai l'impressions qu'ils ne se rendent pas tellement compte qu'ils ont vraiment de la chance, de ce point de vue-là!
Depuis que je suis là je me suis croisée avec un écureil et un lapin sauvage. Sans compter les grands oiseaux - pies et corbeaux. Et il paraît que la nuit il y a des sangliers. Je me plais bien dans cet environnement de campagne, je ne sais pas si la "vraie ville" va me manquer, nous verrons bien.
Au laboratoire tout ce passe bien, je commence à me sentir de plus en plus à l'aise et indépendante. Mon orientatrice a compris que je n'ai aucune expérience et elle me fait suivre par des doctorants et les techniciennes des laboratiores. Je dois dire que ça me rassure. Mais elles ne font que me montrer une fois chaque technique et puis elles me font travailler toute seule en me surveillant et en me donnant des conseils. Je suis donc très contente. D'autant plus qu'il y a des habitudes sympathiques comme deux cafés par jour (9h30 où on peut aussi manger des tartines et 15h30 où il y a aussi des biscuits). C'est une occasion de faire une pause mais aussi de discuter avec les chercheurs et les autre étudiants (de master et de doctorat). L'ambiance est très informelle et décontractée.
Je commence à avoir ma propre routine, promenade au centre-ville et courses le samedi, journée libre le dimanche. J'ai décidé de faire du pain pour la semaine tous les dimanches, le premier a bien réussi, ce qui est encourageant. Un de mes problèmes ici ce sont les prix... rien à voir avec ce à quoi je suis habituée au Portugal. Je ne vais plus manger de viande rouge (du mois chez moi) elle est beaucoup trop chère ici. C'est ce qui m'a choqué le plus. Mais à part ça je m'attendais déjà à cette inflation géographique...
Voilà, j'espère ce premier post en français aura plu à mes lecteurs francophonnes... j'ai pris l'habitude d'écrire en portugais dans mon blog parce-que je m'y sens plus à l'aise. J'écrirai en français en tout cas une fois par semaine (probablement les samedis) et je commencerai à introduire des légendes pour les photos aussi en français.
J'y pense, le prochain week-end je vais à Stockholm visiter Patrick et compagnie, ce qui fait que je n'écrirai pas dans mon blog. Mais vous aurez de mes nouvelles quelques jours plus tard!
Que ninguém se sinta obrigado a ler este blog... a sério, só o fiz para ver como é, para publicar aquilo que me vem à cabeça... o que nem sempre é interessante. Ne vous sentez pas obligés de lire ce blog... je l'ai fait uniquement comme expérience, pour publier ce que je considère intéressant. Et tout est relatif. Surtout l'intéressance. Bref, bienvenue à mon blog! Bem-vindos ao meu blog!
sábado, outubro 31, 2009
sexta-feira, outubro 30, 2009
Soooooooool (de pouca dura, mas é de aproveitar!)
Ontem ao entreabrir a minha pálpebra matinal (a outra ainda estava enterrada na almofada) percebi logo. Bastaram-me as frestas das persianas para saber que estava sol. Levantei-me logo (o que é inédito, normalmente preciso de adiar o meu despertador durante meia hora) e fui à janela contemplar isto:
Soube-me mesmo bem, estes dias de chuva são terríveis e um pouco de sol assim de repente deixa toda a gente bem disposta. Quando fui tomar o pequeno almoço, ao passar no corredor tive de voltar ao quarto buscar a máquina, para poder fotografar isto:
Já me tinha esquecido do efeito fantástico do sol nas folhas de outono... Foi um dia que começou mesmo bem. Também continuou bem, lá fui eu montar as minhas lamelas, e à tarde tivemos o Journal Meeting, em que o grupo se reúne e alguém tem de apresentar um artigo científico recente, e relevante para a nossa investigação. Antes do meeting toda a gente é suposta ter lido o artigo em questão e no final da apresentação toda a gente discute sobre o mesmo. Para não variar fui a única mestranda a abrir a boca :P de resto não achei a apresentação nada de especial, o jovem (doutorando) limitou-se a copiar frases e figuras do artigo para powerpoint e leu-as... mas toda a gente gostou muito, não me atrevi a dizer nada sobre isso, embora nos tenha sido pedido um feedback... enfim, fez-me sentir-me mais confiante nas minhas habilitações...
De resto, ontem também tive a oportunidade de... fotografar a minha bicicleta! Sei que é um momento pelo qual todos esperavam:
Cojamáliiiiinda!! Não é verdade? Tem um cadeado incorporado na roda de trás que a bloqueia e que se abre com chave. As luzes são de pôr e tirar, só as ponho de noite (não posso deixá-las na bicicleta porque fico sem elas).
Ontem também parei a meio caminho do lab para fotografar mais folhas de Outono:
Ao fundo vê-se a torre do departamento de Astronomia.
Hoje assisti a uma defesa de tese de Doutoramento, de uma orientanda da minha supervisora. Foi interessante, muito informal, e relativamente simples... cá as teses têm de ser percebidas por qualquer pessoa com uma formação científica de base e as apresentações idem-aspas. A única altura em que me perdi (penso que terá sido o caso de muita gente) foi a discussão, em que o opponent fez perguntas durante quase duas horas...
Aqui houve uma coincidência engraçada, visto que o opponent é professor no Karolinska e foi a Coimbra dar aulas no programa doutoral, a que eu assisti. Na altura eu estava a entrar em contacto com a minha actual supervisora, e quando vi que o senhor investigava sensivelmente a mesma coisa que ela, fui-lhe perguntar no fim da aula se ele a conhecia (numa de confirmar que ela realmente existe e é boa pessoa). Ele na altura disse-me muito bem dela, e falámos um bocado sobre a minha eventual vinda para a Suécia.
Ontem à noite (5h da tarde) ele apareceu lá no lab e reconheceu-me! Bem, ficou a olhar para mim como quem diz conheço-te de algures... e quando lhe disse quem era ele lembrou-se. Foi giro. Deu para eu me sentir importante. Um outstanding scientist na área das neurociências (como lhe chamaram na defesa de tese) reconhece-me :) Bem, agora já não é o único, visto que neste lab são todos cromos.
Pronto, por hoje é tudo... tenho de ir para a cama. Boas noites.
Soube-me mesmo bem, estes dias de chuva são terríveis e um pouco de sol assim de repente deixa toda a gente bem disposta. Quando fui tomar o pequeno almoço, ao passar no corredor tive de voltar ao quarto buscar a máquina, para poder fotografar isto:
Já me tinha esquecido do efeito fantástico do sol nas folhas de outono... Foi um dia que começou mesmo bem. Também continuou bem, lá fui eu montar as minhas lamelas, e à tarde tivemos o Journal Meeting, em que o grupo se reúne e alguém tem de apresentar um artigo científico recente, e relevante para a nossa investigação. Antes do meeting toda a gente é suposta ter lido o artigo em questão e no final da apresentação toda a gente discute sobre o mesmo. Para não variar fui a única mestranda a abrir a boca :P de resto não achei a apresentação nada de especial, o jovem (doutorando) limitou-se a copiar frases e figuras do artigo para powerpoint e leu-as... mas toda a gente gostou muito, não me atrevi a dizer nada sobre isso, embora nos tenha sido pedido um feedback... enfim, fez-me sentir-me mais confiante nas minhas habilitações...
De resto, ontem também tive a oportunidade de... fotografar a minha bicicleta! Sei que é um momento pelo qual todos esperavam:
Cojamáliiiiinda!! Não é verdade? Tem um cadeado incorporado na roda de trás que a bloqueia e que se abre com chave. As luzes são de pôr e tirar, só as ponho de noite (não posso deixá-las na bicicleta porque fico sem elas).
Ontem também parei a meio caminho do lab para fotografar mais folhas de Outono:
Ao fundo vê-se a torre do departamento de Astronomia.
Hoje assisti a uma defesa de tese de Doutoramento, de uma orientanda da minha supervisora. Foi interessante, muito informal, e relativamente simples... cá as teses têm de ser percebidas por qualquer pessoa com uma formação científica de base e as apresentações idem-aspas. A única altura em que me perdi (penso que terá sido o caso de muita gente) foi a discussão, em que o opponent fez perguntas durante quase duas horas...
Aqui houve uma coincidência engraçada, visto que o opponent é professor no Karolinska e foi a Coimbra dar aulas no programa doutoral, a que eu assisti. Na altura eu estava a entrar em contacto com a minha actual supervisora, e quando vi que o senhor investigava sensivelmente a mesma coisa que ela, fui-lhe perguntar no fim da aula se ele a conhecia (numa de confirmar que ela realmente existe e é boa pessoa). Ele na altura disse-me muito bem dela, e falámos um bocado sobre a minha eventual vinda para a Suécia.
Ontem à noite (5h da tarde) ele apareceu lá no lab e reconheceu-me! Bem, ficou a olhar para mim como quem diz conheço-te de algures... e quando lhe disse quem era ele lembrou-se. Foi giro. Deu para eu me sentir importante. Um outstanding scientist na área das neurociências (como lhe chamaram na defesa de tese) reconhece-me :) Bem, agora já não é o único, visto que neste lab são todos cromos.
Pronto, por hoje é tudo... tenho de ir para a cama. Boas noites.
terça-feira, outubro 27, 2009
capacete... /casque...
segunda-feira, outubro 26, 2009
Rösti
Hoje o meu dia não tem muito para contar... básicamente laboratório, laboratório, laboratório, laboratório. E saí já de noite (às 17h) a chover. Cá já anoitecia cedo, então agora com a mudança da hora acho que só vou ver dia de manhã...
Ontem também foi uma seca (salvo seja) só com chuva. E ao domingo está tudo fechado, portanto nem dá para me meter numa livraria ou num café. Passei o dia em casa a lavar a roupa e a fazer limpezas. E fiz pão, tal como tinha decidido:
O pão correu bem, como podem constatar, é pão integral. Eles cá têm uma farinhas especiais em função do tipo de pão que se quer fazer.
A lavagem da roupa é que correu menos bem...:
Uma das poucas (3) camisolas de lã que eu tinha trazido!!! Já não a vou poder vestir. A questão que se põe agora é: 3 camisolas de lã???! e vais para a Suécia com 3 camisolas de lã?! Pois, disseram-me ah e tal vem de T-shirt e casaco que os edifícios estão muito aquecidos! O meu quarto não deve ser um edifício. Um radiador será um dos meus próximos investimentos. E camisolas de lã.
Também tirei uma foto à lavandaria - a cave:
Miam miam!! Local agradável, não é verdade? Aconchegado, quentinho... cozy, diria mesmo mais.
Pediram-me uma foto da minha bicicleta, é a do fundo, da ponta:
Está muito bem abrigada. Quando estiver bom tempo outra vez tiro outra fotografia. Uma em que se veja a bicicleta.
E por fim a minha foto favorita:
Delphi by night! (é o nome do bairro de estudantes)
Também me armei em janela indiscreta:
Um menino a estudar e o outro a fazer a cama (a estas horas?!).
Bem, à noite estava eu muito bem a pensar na vida no meu quarto quando bateram à porta. Truz truz! Fui abrir e era um jovem que eu ainda só tinha visto poucas vezes a perguntar-me se eu o queria ajudar a fazer o jantar. Lembrei-me que este domingo era dia de corridor dinner, em que o pessoal do corredor janta em família. E há duas pessoas que se voluntariam para fazer o jantar. Como este ia fazer o jantar sozinho e os outros tinham ficado de cozinhar nos próximos jantares ele lembrou-se de mim. Como quem diz, preciso de quem me ajude a lavar a loiça no fim :P
Aceitei, e fomos os dois para a cozinha. Ele tinha decidido o que queria fazer - rösti!! com bacon - e tinha feito as compras. Ficámos portanto os dois na conversa a descascar batatas (era para isso que ele precisava de mim, e não só para a loiça!). Ele é baterista na jazzband universitária e estuda engenharia do ambiente. E descasca batatas à velocidade da luz. Nenhum de nós tinha alguma vez feito rösti na vida (já comi e vi fazer, mas não saberia reproduzir), no entanto a coisa até correu bem, com duas frigideiras para cada um. Ele fez salada e até se lembrou da sobremesa (gelado de natas e charutos de chocolate). O pessoal foi chegando para jantar e pronto. Foi a primeira vez que estive com todos (ou quase... o meu corredor tem pessoal underground, mas esses ficam para outro post) e foi um serão muito simpático, acabámos por ver um filme (mauzinho, mas enfim... deu para o cumbíbio). O Jonathan fartou-se de me agradecer (bem, ele fez a maior parte, mas you're welcome pois comcerteza) e pronto, sentei-me a vegetar mentalmente com os outros (ele tinha uma apresentação no dia seguinte).
Bem, apesar da chuva até nem foi um dia mau de todo.
Ontem também foi uma seca (salvo seja) só com chuva. E ao domingo está tudo fechado, portanto nem dá para me meter numa livraria ou num café. Passei o dia em casa a lavar a roupa e a fazer limpezas. E fiz pão, tal como tinha decidido:
O pão correu bem, como podem constatar, é pão integral. Eles cá têm uma farinhas especiais em função do tipo de pão que se quer fazer.
A lavagem da roupa é que correu menos bem...:
Uma das poucas (3) camisolas de lã que eu tinha trazido!!! Já não a vou poder vestir. A questão que se põe agora é: 3 camisolas de lã???! e vais para a Suécia com 3 camisolas de lã?! Pois, disseram-me ah e tal vem de T-shirt e casaco que os edifícios estão muito aquecidos! O meu quarto não deve ser um edifício. Um radiador será um dos meus próximos investimentos. E camisolas de lã.
Também tirei uma foto à lavandaria - a cave:
Miam miam!! Local agradável, não é verdade? Aconchegado, quentinho... cozy, diria mesmo mais.
Pediram-me uma foto da minha bicicleta, é a do fundo, da ponta:
Está muito bem abrigada. Quando estiver bom tempo outra vez tiro outra fotografia. Uma em que se veja a bicicleta.
E por fim a minha foto favorita:
Delphi by night! (é o nome do bairro de estudantes)
Também me armei em janela indiscreta:
Um menino a estudar e o outro a fazer a cama (a estas horas?!).
Bem, à noite estava eu muito bem a pensar na vida no meu quarto quando bateram à porta. Truz truz! Fui abrir e era um jovem que eu ainda só tinha visto poucas vezes a perguntar-me se eu o queria ajudar a fazer o jantar. Lembrei-me que este domingo era dia de corridor dinner, em que o pessoal do corredor janta em família. E há duas pessoas que se voluntariam para fazer o jantar. Como este ia fazer o jantar sozinho e os outros tinham ficado de cozinhar nos próximos jantares ele lembrou-se de mim. Como quem diz, preciso de quem me ajude a lavar a loiça no fim :P
Aceitei, e fomos os dois para a cozinha. Ele tinha decidido o que queria fazer - rösti!! com bacon - e tinha feito as compras. Ficámos portanto os dois na conversa a descascar batatas (era para isso que ele precisava de mim, e não só para a loiça!). Ele é baterista na jazzband universitária e estuda engenharia do ambiente. E descasca batatas à velocidade da luz. Nenhum de nós tinha alguma vez feito rösti na vida (já comi e vi fazer, mas não saberia reproduzir), no entanto a coisa até correu bem, com duas frigideiras para cada um. Ele fez salada e até se lembrou da sobremesa (gelado de natas e charutos de chocolate). O pessoal foi chegando para jantar e pronto. Foi a primeira vez que estive com todos (ou quase... o meu corredor tem pessoal underground, mas esses ficam para outro post) e foi um serão muito simpático, acabámos por ver um filme (mauzinho, mas enfim... deu para o cumbíbio). O Jonathan fartou-se de me agradecer (bem, ele fez a maior parte, mas you're welcome pois comcerteza) e pronto, sentei-me a vegetar mentalmente com os outros (ele tinha uma apresentação no dia seguinte).
Bem, apesar da chuva até nem foi um dia mau de todo.
sábado, outubro 24, 2009
Dam cyklar :)
COMPREI UMA BICICLETAAAAA!!! e não precisei de fazer bike jacking. Até foi uma oportunidade para dar uma voltinha nos arredores de Lund. Segui a sugestão duma sueca do laboratório e fui ao site http://www.blocket.se/. Trata-se de um site de venda de coisas em segunda mão. Segundo a Camilla, das melhores coisas que tenham sido inventadas para estudantes. Escolhi três bicicletas que me pareceram ter bom aspecto e liguei aos anunciantes. Combinei encontrar-me com eles hoje de manhã.
O primeiro era um jovem de boné e casaco preto (auto-descrição por telefone) muito simpático, passou-bem e tal, mas a bicicleta... bem, não era assim TÃO fixe como parecia no site. Estava cheia de ferrugem e as mudanças encravadas. Esquece.
Com a segunda pessoa combinei encontrar-me na estação de comboios de Stångby, uma terriola nos arredores de Lund (3 minutos de comboio). Apanhei então o comboio em Lund. Isso foi um bocado stressante, porque tinha combinado com o primeiro jovem à 10h50 e tinha o comboio às 11h11 e não encontrava a bilheteira. Sim é o cúmulo, ainda não sei onde se compra bilhetes de comboio na estação de comboios de Lund. Comprei numa máquina (já em desespero de causa, a pensar que a máquina é só para autocarros) e afinal estava certa. Tive de correr para apanhar o comboio em que andei... 3 minutos.
Quando o comboio chegou à estação de Stångby vi a senhora no cais com a bicicleta. Está como nova, dei umas voltas e pareceu-me bem, com as mudanças a funcionar, e um cadeado incorporado, perfect. Paguei-a 800 coroas (80eur.), o que pelo que percebi é barato na Suécia (a do primeiro jovem estava a 990coroas...). E a senhora ainda me explicou como voltar para Lund de bicicleta! Impacábel! Já estava com saudades de me perder! Bem, só me perdi nos bosques a Norte do meu bairro. Lá no meio estava uma quinta com ovelhas, e patos e tudo... E um escorrega cor-de-laranja gigante!! Assim, no meio do pátio! Quando olhei estava uma ovelha ao lado do escorrega... um bocado surreal, mas enfim. Lá acabei por dar com o meu lar doce lar.
Já devem ter percebido que o problema de se andar de bicicleta é que não dá para tirar fotos... a menos, claro, que se seja um destes suecos que andam de bicicleta a 200km/h, de mãos nos bolsos e olhos fechados, a galgar passeios e contornar obstáculos. Um mistério que eu ainda estou para desvendar. Aliás é fácil distinguir os que nasceram com a bicicleta entre as pernas (salvo seja) e os outros. Quando era peoa (feminido de peão - palavra inventada por mim) costumava rir-me interiormente a ver os "novatos" a suar em bicicletas cheias de ferrugem, a fazer crrrrrrrcrrrrrcrrrrrcrrrr, e zigzags quando decidem acelerar.
A propósito, bem hajam as mudanças!! Isto de me rir interiormente a ver os ciclistas suar (pura dor de cotovelo, não nego!!) também me ensinou que embora isto me pareça tudo plano (comparado com Lisboa e Coimbra), de bicicleta as subidas são outra história e as mudanças dão muuuuuito jeito.
Resumindo e concluindo, agora demoro 10minutos a chegar ao lab! Sou uma pessoa feliz. Agora vamos ver se não me roubam a bicicleta. A senhora a quem a comprei disse-me quase para dormir com ela (com a bicicleta, entenda-se). Que aqui se rouba muito bicicletas, que a filha do primo da irmã do marido dela tinha ficado sem bicicleta e para eu pôr a minha no meu quarto. O problema é que aqui ao pé há cavalos e portanto bostas de cavalo e portanto... fiz-me entender.
De resto as aulas de sueco continuam:
Agora levo isto a sério, tenho um caderno próprio e aulas de dúvidas com a Camilla e o Florian. A partir das frases deduzo a conjugação de verbos, a construção das palavras (com terminações diferentes consoante os contextos, etc). Também as preposições, o vocabulário relativo ao corpo e expressões tipo desculpe e se faz favor. Nas "aulas de dúvidas" confirmo/corrijo o que "descobri" com eles e a Camilla ensina-me a pronúncia. Vou ver se com isto, se puder começar a ter aulas mesmo no 2o semestre, consigo começar num nível mais avançado, e não do zero.
Nota: o Peter que está aqui referenciado e que aparece na música da aula #6 (post de ontem) é o jeitoso de que já falei aqui. Pelos vistos não sou a única a ter reparado. O Florian é o meu "prof" de alemão austríaco e é viciado em jogos de playstation interactivos do tipo Singstar (no quadro) e Buzz.
O primeiro era um jovem de boné e casaco preto (auto-descrição por telefone) muito simpático, passou-bem e tal, mas a bicicleta... bem, não era assim TÃO fixe como parecia no site. Estava cheia de ferrugem e as mudanças encravadas. Esquece.
Com a segunda pessoa combinei encontrar-me na estação de comboios de Stångby, uma terriola nos arredores de Lund (3 minutos de comboio). Apanhei então o comboio em Lund. Isso foi um bocado stressante, porque tinha combinado com o primeiro jovem à 10h50 e tinha o comboio às 11h11 e não encontrava a bilheteira. Sim é o cúmulo, ainda não sei onde se compra bilhetes de comboio na estação de comboios de Lund. Comprei numa máquina (já em desespero de causa, a pensar que a máquina é só para autocarros) e afinal estava certa. Tive de correr para apanhar o comboio em que andei... 3 minutos.
Quando o comboio chegou à estação de Stångby vi a senhora no cais com a bicicleta. Está como nova, dei umas voltas e pareceu-me bem, com as mudanças a funcionar, e um cadeado incorporado, perfect. Paguei-a 800 coroas (80eur.), o que pelo que percebi é barato na Suécia (a do primeiro jovem estava a 990coroas...). E a senhora ainda me explicou como voltar para Lund de bicicleta! Impacábel! Já estava com saudades de me perder! Bem, só me perdi nos bosques a Norte do meu bairro. Lá no meio estava uma quinta com ovelhas, e patos e tudo... E um escorrega cor-de-laranja gigante!! Assim, no meio do pátio! Quando olhei estava uma ovelha ao lado do escorrega... um bocado surreal, mas enfim. Lá acabei por dar com o meu lar doce lar.
Já devem ter percebido que o problema de se andar de bicicleta é que não dá para tirar fotos... a menos, claro, que se seja um destes suecos que andam de bicicleta a 200km/h, de mãos nos bolsos e olhos fechados, a galgar passeios e contornar obstáculos. Um mistério que eu ainda estou para desvendar. Aliás é fácil distinguir os que nasceram com a bicicleta entre as pernas (salvo seja) e os outros. Quando era peoa (feminido de peão - palavra inventada por mim) costumava rir-me interiormente a ver os "novatos" a suar em bicicletas cheias de ferrugem, a fazer crrrrrrrcrrrrrcrrrrrcrrrr, e zigzags quando decidem acelerar.
A propósito, bem hajam as mudanças!! Isto de me rir interiormente a ver os ciclistas suar (pura dor de cotovelo, não nego!!) também me ensinou que embora isto me pareça tudo plano (comparado com Lisboa e Coimbra), de bicicleta as subidas são outra história e as mudanças dão muuuuuito jeito.
Resumindo e concluindo, agora demoro 10minutos a chegar ao lab! Sou uma pessoa feliz. Agora vamos ver se não me roubam a bicicleta. A senhora a quem a comprei disse-me quase para dormir com ela (com a bicicleta, entenda-se). Que aqui se rouba muito bicicletas, que a filha do primo da irmã do marido dela tinha ficado sem bicicleta e para eu pôr a minha no meu quarto. O problema é que aqui ao pé há cavalos e portanto bostas de cavalo e portanto... fiz-me entender.
De resto as aulas de sueco continuam:
Agora levo isto a sério, tenho um caderno próprio e aulas de dúvidas com a Camilla e o Florian. A partir das frases deduzo a conjugação de verbos, a construção das palavras (com terminações diferentes consoante os contextos, etc). Também as preposições, o vocabulário relativo ao corpo e expressões tipo desculpe e se faz favor. Nas "aulas de dúvidas" confirmo/corrijo o que "descobri" com eles e a Camilla ensina-me a pronúncia. Vou ver se com isto, se puder começar a ter aulas mesmo no 2o semestre, consigo começar num nível mais avançado, e não do zero.
Nota: o Peter que está aqui referenciado e que aparece na música da aula #6 (post de ontem) é o jeitoso de que já falei aqui. Pelos vistos não sou a única a ter reparado. O Florian é o meu "prof" de alemão austríaco e é viciado em jogos de playstation interactivos do tipo Singstar (no quadro) e Buzz.
sexta-feira, outubro 23, 2009
Fim de semanaaaaa!!!!
Aqui estão as aulas 6 e 7. Perdi a aula 5 :( não tive tempo de apontar... a aula 6 foi uma iniciativa do Florian, isto está-se a tornar muito elaborado, vou ter de passar o fim de semana a estudar.
Hoje estou cansada... as 6as-Feiras são iguais em toda a parte ;) Mesmo na Suécia...
Conheci duas pessoas que fazem o próprio pão, pelos vistos cá é costume. Começo amanhã! Já tenho uma receita, depois conto como correu. Amanhã também vou arranjar uma bicicleta. Não passa deste fim de semana!
Entretanto deixo aqui o retrato das minhas companhias matinais:
Hoje estou cansada... as 6as-Feiras são iguais em toda a parte ;) Mesmo na Suécia...
Conheci duas pessoas que fazem o próprio pão, pelos vistos cá é costume. Começo amanhã! Já tenho uma receita, depois conto como correu. Amanhã também vou arranjar uma bicicleta. Não passa deste fim de semana!
Entretanto deixo aqui o retrato das minhas companhias matinais:
quinta-feira, outubro 22, 2009
Cavalos matinais (cuidado com as interpretações!!!)
Já vou na quarta lição...
Tal como aconteceu noutros dias, os primeiros seres animados com os quais troquei um olhar hoje de manhã foram cavalos. A caminho do laboratório costumo passar por uma quinta (penso que também é uma escola de equitação) com uns cavalos que acompanham os peões durante os metros de caminho contíguos ao curral deles. Estão protegidos contra o frio com umas roupas e umas protecções para as orelhas (coisa que eu também devia arranjar...). Um dia destes tiro uma foto, o problema é que normalmente quando passo por lá já vou atrasada...
De resto ontem e hoje tive de tratar de cenas burocráticas (acho que agora acabou!!), relacionadas nomeadamente com o meu contrato de alojamento. Voltei a reparar que nesta terra os funcionários se vestem como lhes apetece, a senhora (ou rapariga) que trata do alojamento internacional por exemplo tem o cabelo pintado de preto, curto e espetado atrás, os olhos com maquilhagem preta pesada e piercings na cara... é inesperado.
Hoje estive a conversar com uma post-doc coreana lá do lab. Foi ela que meteu conversa comigo na primeira vez que falámos (cá faz-se muito isso: "I think I didn't met you before. Hi! my name is..." e passou-bem). É sul-coreana e quando lhe falei da Maria-João ficou toda contente. Costuma levar o próprio chá coreano e pelo que percebi (das diferentes conversas que tivemos) tem cá um marido e uma filha - contou que o marido engordou desde que o conheceu. Hoje estávamos no café da tarde e ela meteu conversa comigo de uma forma muito original: Adoro molho piripiri! Eu fiquei a olhar. E ela disse que é um molho típicamente português que provou nos EUA com o frango no churrasco no "Nandos". Agora por curiosidade fui ao google e encontrei isto: http://www.nandos.co.uk/ e isto: http://www.nandos.com/. O molho piripiri é típicamente português?! Estou agora a ter uma crise de identidade.
De resto descobri um site de anúcios de bicicletas em segunda mão! Há esperança... A propósito de bicicleta; fiz mais uma nota mental quando passei por isto:
Não segurar só a roda da frente da bicicleta ao suporte!
De resto, hoje tirei fotos a uma árvore que está ao pé do lab e que tenho vindo a namorar desde há alguns tempos:
Tem um vermelho fantástico!
Ah! E encontrei uma árvore esquizofrénica:
Também fotografei arbustos:
terça-feira, outubro 20, 2009
Javalís
Aulas de sueco... a saga continua. Desta vez a lição parece ter sido completada pelo Florian, o austríco do nosso corredor.
Hoje foi o primeiro dia em que pus "as mãos na massa" no laboratório. Sinto-me um bocado orangotango, visto que pego numa pipeta e dizem-me "goooood!" antes mesmo de eu ter feito o que era suposto, mas mais vale isso que o contrário. Tive uma visita guiada ao laboratório de culturas celulares com a nossa técnica, uma senhora sueca (nos seus 60s) muito simpática, que me explicou em quê é que posso mexer e como fazer o meio de cultura para as minhas células. Às tantas passou-se. Literalmente: passou de uma velhota afável para uma fera - alguém tinha estado a usar as nossas placas multiwell... alguém que não é do nosso grupo (disse isto como quem o farejou)... E sem autorização!!! Depois de fulminar um bocado voltou ao normal, continuámos a visita guiada, e quase parecia ter-se esquecido quando de repente... entrou um infeliz do outro grupo de investigação. Ela agarrou na caixa da placas multiwell (com uma velocidade inesperada) e espetou-a debaixo do nariz do jovem, com um chorrilho de palavras furiosas em sueco, que eu não percebi, mas ele ficou visivelmente assustado. O que também era cómico é que se trata de um rapaz de uma certa estatura, que mete algum respeito, tipo segurança de discoteca, enquanto ela tem quase o meu tamanho. O jovem gaguejou uma resposta (não tinha sido ele, pelo que percebi) e foi-se embora. Claro que a partir daí redobrei de apontamentos no meu bloco de notas, para ter a certeza de não fazer asneiras no lab tão cedo.
Continuei a confraternizar com os outros mestrandos: dois austríacos, um alemão, e uma sueca. Até agora não tive conversas especialmente elaboradas com eles... hoje durante o café matinal a sueca e a austríaca puseram-se a falar sobre torradas com salmão fumado, caviar (!) e champanhe (!!!!) para o pequeno almoço (!!!!!!!!!!!!!). Isto a falar a sério! Bem, a austríaca disse que em casa dela era só no Natal. E a sueca diz que champanhe não costuma beber ao pequeno almoço. Só uma vez. Eu ouvia-as falar como quem vê um jogo de ténis e quando se calaram disse que já almocei salmão fumado. Poooiiinnng.
Durante o café da tarde estivemos a conversar com a minha supervisora e outra investigadora sobre a fauna de Lund. Falou-se de um urso que matou umas cabras para os lados de Halland (é uma terra aqui ao pé) e parece que em Lund há javalis durante a noite! Eu perguntei a medo se passavam na Tornavägen (a zona em que me perdi de noite no outro dia) e desmanchou-se a mesa toda a rir. Eu estava a falar a sério... Claaaaaro que não há javalis na Tornavägen, é mais na periferia. De qualquer forma vou tentar voltar para casa antes de anoitecer.
Quando saí do lab continuei a procurar uma bicicleta em segunda mão. No café matinal a mestranda sueca tinha-me falado de uma loja de bicicletas que estava a fechar, e portanto a liquidar o stock, e em que eu era capaz de arranjar uma bicicleta nova barata. Lá fui eu para a dita loja... mas não entrei logo. Isto porque por detrás do balcão espreitava... um javali. Não, estou a brincar, era um pastor alemão enorme. E no meio do chão, ao pé da porta de entrada estava uma bola de futebol toda rasgada. Fiz duas deduções enquanto o canídeo olhava para mim: ele morde coisas (pelo menos bolas de futebol) e está solto, visto que o brinquedo dele está aqui. Até que apareceu o dono da loja, que me fez sinal para entrar e o cão veio todo contente lamber-me as luvas. Perguntei ao senhor se tinha bicicletas em segunda mão; só tinha uma, enorme, de homem. Não dá. Deitei uma vista de olhos nas promoções e era tudo para cima de 3000 coroas (~300 euros). O meu sonho durou pouco. O pastor alemão acompanhou-me à porta e vim para casa.
Foram estas a fotografias que tirei hoje:
À saída do laboratório... ainda havia sol
Menina de bicicleta (snifsnifsnif - qualquer dia ainda cometo um bike-jacking)
Um ninho de corvo (estava lá a mamã-corvo mas voou enquanto eu estava a tirar a máquina da mochila)
A associação de estudantes da Universidade de Lund ao fim da tarde.
Hoje foi o primeiro dia em que pus "as mãos na massa" no laboratório. Sinto-me um bocado orangotango, visto que pego numa pipeta e dizem-me "goooood!" antes mesmo de eu ter feito o que era suposto, mas mais vale isso que o contrário. Tive uma visita guiada ao laboratório de culturas celulares com a nossa técnica, uma senhora sueca (nos seus 60s) muito simpática, que me explicou em quê é que posso mexer e como fazer o meio de cultura para as minhas células. Às tantas passou-se. Literalmente: passou de uma velhota afável para uma fera - alguém tinha estado a usar as nossas placas multiwell... alguém que não é do nosso grupo (disse isto como quem o farejou)... E sem autorização!!! Depois de fulminar um bocado voltou ao normal, continuámos a visita guiada, e quase parecia ter-se esquecido quando de repente... entrou um infeliz do outro grupo de investigação. Ela agarrou na caixa da placas multiwell (com uma velocidade inesperada) e espetou-a debaixo do nariz do jovem, com um chorrilho de palavras furiosas em sueco, que eu não percebi, mas ele ficou visivelmente assustado. O que também era cómico é que se trata de um rapaz de uma certa estatura, que mete algum respeito, tipo segurança de discoteca, enquanto ela tem quase o meu tamanho. O jovem gaguejou uma resposta (não tinha sido ele, pelo que percebi) e foi-se embora. Claro que a partir daí redobrei de apontamentos no meu bloco de notas, para ter a certeza de não fazer asneiras no lab tão cedo.
Continuei a confraternizar com os outros mestrandos: dois austríacos, um alemão, e uma sueca. Até agora não tive conversas especialmente elaboradas com eles... hoje durante o café matinal a sueca e a austríaca puseram-se a falar sobre torradas com salmão fumado, caviar (!) e champanhe (!!!!) para o pequeno almoço (!!!!!!!!!!!!!). Isto a falar a sério! Bem, a austríaca disse que em casa dela era só no Natal. E a sueca diz que champanhe não costuma beber ao pequeno almoço. Só uma vez. Eu ouvia-as falar como quem vê um jogo de ténis e quando se calaram disse que já almocei salmão fumado. Poooiiinnng.
Durante o café da tarde estivemos a conversar com a minha supervisora e outra investigadora sobre a fauna de Lund. Falou-se de um urso que matou umas cabras para os lados de Halland (é uma terra aqui ao pé) e parece que em Lund há javalis durante a noite! Eu perguntei a medo se passavam na Tornavägen (a zona em que me perdi de noite no outro dia) e desmanchou-se a mesa toda a rir. Eu estava a falar a sério... Claaaaaro que não há javalis na Tornavägen, é mais na periferia. De qualquer forma vou tentar voltar para casa antes de anoitecer.
Quando saí do lab continuei a procurar uma bicicleta em segunda mão. No café matinal a mestranda sueca tinha-me falado de uma loja de bicicletas que estava a fechar, e portanto a liquidar o stock, e em que eu era capaz de arranjar uma bicicleta nova barata. Lá fui eu para a dita loja... mas não entrei logo. Isto porque por detrás do balcão espreitava... um javali. Não, estou a brincar, era um pastor alemão enorme. E no meio do chão, ao pé da porta de entrada estava uma bola de futebol toda rasgada. Fiz duas deduções enquanto o canídeo olhava para mim: ele morde coisas (pelo menos bolas de futebol) e está solto, visto que o brinquedo dele está aqui. Até que apareceu o dono da loja, que me fez sinal para entrar e o cão veio todo contente lamber-me as luvas. Perguntei ao senhor se tinha bicicletas em segunda mão; só tinha uma, enorme, de homem. Não dá. Deitei uma vista de olhos nas promoções e era tudo para cima de 3000 coroas (~300 euros). O meu sonho durou pouco. O pastor alemão acompanhou-me à porta e vim para casa.
Foram estas a fotografias que tirei hoje:
À saída do laboratório... ainda havia sol
Menina de bicicleta (snifsnifsnif - qualquer dia ainda cometo um bike-jacking)
Um ninho de corvo (estava lá a mamã-corvo mas voou enquanto eu estava a tirar a máquina da mochila)
A associação de estudantes da Universidade de Lund ao fim da tarde.
segunda-feira, outubro 19, 2009
Janelas
Hoje de manhã, estavam os meus olhos a habituar-se tranquilamente à sua miopia, quando aterraram nesta inscrição (o quadro encontra-se à frente da mesa do pequeno-almoço):
Claro que apontei logo, que isto de ter aulas de sueco à borla é de se aproveitar!
Suspeito que tenha sido a Camilla. Foi com ela que falei de aprender sueco, perguntei-lhe onde é que ela achava que era melhor. Nessa altura também comentei com ela o facto de na Suécia se usarem legendas, tal como em Portugal! As séries e os filmes em inglês são legendados, cá não se usa dobragem. E ela contou-me uma coisa incrível. Na Polónia, os filmes dão baixinho no original, com uma voz-off masculina por cima a ler os diálogos num tom monocórdico (imaginem um filme de terror em que vêm uma menina a fugir e a gritar com uma voz masculina por cima a dizer: Socorro socorro... socorro. Estou a ser perseguida. Socorro. A... AAAA.)
À tarde fui para o laboratório, e a minha supervisora arranjou-me um cartão magnético que me permite entrar no edifício e uma chave dos laboratórios e de algumas salas com equipamentos especiais (dá-me um ar muito profissional, tanto que o cartão tem o meu nome e uma foto minha - muito CSI). Esteve a mostrar-me o meu local de trabalho, em que deu para eu confraternizar com os outros mestrandos, muito porreiros. Disse-me quem me irá ajudar durante esta semana, e falou-me de uma defesa de tese de doutoramento na sexta a que me recomenda ir. Tomei café às 15h30 com o pessoal do lab - há café às 9h30 e às 15h30, em que toda a gente se junta a beber café, chá e a comer bolachas. O lab tem uma cozinha com montes de máquinas de café, chaleiras, e onde pendurar a nossa chávena. Vou ter de levar uma para mim; hoje bebi numa chávena de guest :P
Acabei por me cruzar com a jovem que irá defender a tese na 6a, a quem pedi uma cópia da tese, e que insistiu em autografá-la. Muito simpática, esteve a falar-me do trabalho dela e dos supervisores. Elogiou o meu inglês (tem-me acontecido com uma certa frequência... mas eu sinto-me terrívelmente tosca) e disse que era muito bom para uma portuguesa. Fiquei a olhar sem saber o que dizer e ela rematou: pelo menos os espanhóis têm uma pronúncia terrível! Expliquei-lhe que em Portugal não era bem a mesma coisa, que os portugueses falam muito bem inglês. Ela riu-se e disse "devo ter feito um dos piores erros da minha vida - meter portugueses e espanhóis na mesma categoria". No comments. Riso amarelo. Ha Ha.
Na Sölvegatan (a rua em que se encontra o laboratório) vi um esquilo a atravessar a estrada. Parei a olhar enquanto ele trepou por uma árvore acima (a 2metros de mim), subiu até à ponta de um ramo, de onde saltou para um arbusto e nunca mais o vi.
No fim da tarde (entenda-se 5h da tarde) fui passear à procura de bicicletas em 2a mão; estão todas esgotadas e as novas custam de 4000 coroas para cima (mais de 400eur)... mas ainda há esperança!!!!
Desta vez tirei umas fotos que não a árvores e folhas caídas mas sim de janelas:
Bem, aqui é uma porta, o número 3 da Sölvegatan.
Claro que apontei logo, que isto de ter aulas de sueco à borla é de se aproveitar!
Suspeito que tenha sido a Camilla. Foi com ela que falei de aprender sueco, perguntei-lhe onde é que ela achava que era melhor. Nessa altura também comentei com ela o facto de na Suécia se usarem legendas, tal como em Portugal! As séries e os filmes em inglês são legendados, cá não se usa dobragem. E ela contou-me uma coisa incrível. Na Polónia, os filmes dão baixinho no original, com uma voz-off masculina por cima a ler os diálogos num tom monocórdico (imaginem um filme de terror em que vêm uma menina a fugir e a gritar com uma voz masculina por cima a dizer: Socorro socorro... socorro. Estou a ser perseguida. Socorro. A... AAAA.)
À tarde fui para o laboratório, e a minha supervisora arranjou-me um cartão magnético que me permite entrar no edifício e uma chave dos laboratórios e de algumas salas com equipamentos especiais (dá-me um ar muito profissional, tanto que o cartão tem o meu nome e uma foto minha - muito CSI). Esteve a mostrar-me o meu local de trabalho, em que deu para eu confraternizar com os outros mestrandos, muito porreiros. Disse-me quem me irá ajudar durante esta semana, e falou-me de uma defesa de tese de doutoramento na sexta a que me recomenda ir. Tomei café às 15h30 com o pessoal do lab - há café às 9h30 e às 15h30, em que toda a gente se junta a beber café, chá e a comer bolachas. O lab tem uma cozinha com montes de máquinas de café, chaleiras, e onde pendurar a nossa chávena. Vou ter de levar uma para mim; hoje bebi numa chávena de guest :P
Acabei por me cruzar com a jovem que irá defender a tese na 6a, a quem pedi uma cópia da tese, e que insistiu em autografá-la. Muito simpática, esteve a falar-me do trabalho dela e dos supervisores. Elogiou o meu inglês (tem-me acontecido com uma certa frequência... mas eu sinto-me terrívelmente tosca) e disse que era muito bom para uma portuguesa. Fiquei a olhar sem saber o que dizer e ela rematou: pelo menos os espanhóis têm uma pronúncia terrível! Expliquei-lhe que em Portugal não era bem a mesma coisa, que os portugueses falam muito bem inglês. Ela riu-se e disse "devo ter feito um dos piores erros da minha vida - meter portugueses e espanhóis na mesma categoria". No comments. Riso amarelo. Ha Ha.
Na Sölvegatan (a rua em que se encontra o laboratório) vi um esquilo a atravessar a estrada. Parei a olhar enquanto ele trepou por uma árvore acima (a 2metros de mim), subiu até à ponta de um ramo, de onde saltou para um arbusto e nunca mais o vi.
No fim da tarde (entenda-se 5h da tarde) fui passear à procura de bicicletas em 2a mão; estão todas esgotadas e as novas custam de 4000 coroas para cima (mais de 400eur)... mas ainda há esperança!!!!
Desta vez tirei umas fotos que não a árvores e folhas caídas mas sim de janelas:
Bem, aqui é uma porta, o número 3 da Sölvegatan.
domingo, outubro 18, 2009
Sol e gaps
O dia de hoje foi bastante caseiro, apesar do sol que tivemos por cá - em Estocolmo começaram as tempestades de neve.
Tive a oportunidade de conversar com pessoal aqui do corredor. Pelo que percebi sou das mais novas (ou a mais nova?) mas também a que está mais avançada no curso. Nesta terra, como em muitos outros sítios na Europa, as pessoas têm tempo de... como dizer? Crescer como lhes apetece antes de começarem um curso superior.
O Peter, por exemplo (um jovem muito bem parecido - se me posso permitir este tipo de considerações num blogue lido pelo meu namorado), tem 22 anos e está no 3º ano do curso de Engenharia Física. Antes de ir para a Universidade decidiu fazer o serviço militar, que não é obrigatório na Suécia. Como não lhe apetecia fazer nada meteu-se naquilo numa de conhecer pessoas e tal.
A Camilla, com quem falei hoje, minha vizinha de corredor, criou com quatro amigos uma empresa de seguranças (security guards). Também é "dupla nacional", polaco-sueca. Viveu na Polónia e em Nice, é muito porreira. Estuda criminologia e psicologia forense.
A primeira pessoa com quem falei de gaps (intervalo entre o secundáro e universidade) foi a Cristina (se bem me lembro do nome). Foi um momento muito engraçado. Não me lembro a que propósito, naquela conversa de chacha que se tem quando ainda não se conhece a pessoa, disse-me que estava muito nervosa porque ia fazer os primeiros exames na próxima semana. Estava no primeiro ano do curso, coitadinha e não sabia bem como ia ser. Eu pensei coitada, caloirinha, deve estar à nora, e reconfortei-a, que ia correr bem, para não se preocupar. No decorrer da conversa perguntei-lhe a idade, e não me lembro da resposta mas era qualquer coisa como 22 ou 23 ou 24 anos, por aí. Perguntei-lhe então o que tinha andado a fazer. Essa fez um gap de 3anos: durante 2 anos e meio trabalhou (na Suécia, em França, na Áustria, em Londres e noutros sítios, já não sei) para amealhar dinheiro. Desde restaurantes a lojas de roupa, hotéis, acho que fez um pouco de tudo. Isto para fazer uma volta ao mundo nos últimos seis meses. A solo, se bem percebi. Está agora a tirar Engenharia e Gestão Industrial. Pronto. Foi assim que me senti um bocado estúpida, a precisar de ser reconfortada...
Toda a gente ma perguntou como é que eu já aqui ia, porquê é que não tinha feito gap, e ficaram a olhar para mim quando disse que fazendo um ano sabático teria de repetir todos os meus exames no ano seguinte.
Também descobri que o ensino superior cá é gratuito e os estudantes têm a possibilidade de receber uma espécie de umas bolsas que lhes permitem ser completamente independentes dos pais, pelo menos financeiramente. Viva o Estado-providência.
Hoje não tenho fotos a apresentar... a menos que queiram mais cores de outono e sol, e tal ;)
Tive a oportunidade de conversar com pessoal aqui do corredor. Pelo que percebi sou das mais novas (ou a mais nova?) mas também a que está mais avançada no curso. Nesta terra, como em muitos outros sítios na Europa, as pessoas têm tempo de... como dizer? Crescer como lhes apetece antes de começarem um curso superior.
O Peter, por exemplo (um jovem muito bem parecido - se me posso permitir este tipo de considerações num blogue lido pelo meu namorado), tem 22 anos e está no 3º ano do curso de Engenharia Física. Antes de ir para a Universidade decidiu fazer o serviço militar, que não é obrigatório na Suécia. Como não lhe apetecia fazer nada meteu-se naquilo numa de conhecer pessoas e tal.
A Camilla, com quem falei hoje, minha vizinha de corredor, criou com quatro amigos uma empresa de seguranças (security guards). Também é "dupla nacional", polaco-sueca. Viveu na Polónia e em Nice, é muito porreira. Estuda criminologia e psicologia forense.
A primeira pessoa com quem falei de gaps (intervalo entre o secundáro e universidade) foi a Cristina (se bem me lembro do nome). Foi um momento muito engraçado. Não me lembro a que propósito, naquela conversa de chacha que se tem quando ainda não se conhece a pessoa, disse-me que estava muito nervosa porque ia fazer os primeiros exames na próxima semana. Estava no primeiro ano do curso, coitadinha e não sabia bem como ia ser. Eu pensei coitada, caloirinha, deve estar à nora, e reconfortei-a, que ia correr bem, para não se preocupar. No decorrer da conversa perguntei-lhe a idade, e não me lembro da resposta mas era qualquer coisa como 22 ou 23 ou 24 anos, por aí. Perguntei-lhe então o que tinha andado a fazer. Essa fez um gap de 3anos: durante 2 anos e meio trabalhou (na Suécia, em França, na Áustria, em Londres e noutros sítios, já não sei) para amealhar dinheiro. Desde restaurantes a lojas de roupa, hotéis, acho que fez um pouco de tudo. Isto para fazer uma volta ao mundo nos últimos seis meses. A solo, se bem percebi. Está agora a tirar Engenharia e Gestão Industrial. Pronto. Foi assim que me senti um bocado estúpida, a precisar de ser reconfortada...
Toda a gente ma perguntou como é que eu já aqui ia, porquê é que não tinha feito gap, e ficaram a olhar para mim quando disse que fazendo um ano sabático teria de repetir todos os meus exames no ano seguinte.
Também descobri que o ensino superior cá é gratuito e os estudantes têm a possibilidade de receber uma espécie de umas bolsas que lhes permitem ser completamente independentes dos pais, pelo menos financeiramente. Viva o Estado-providência.
Hoje não tenho fotos a apresentar... a menos que queiram mais cores de outono e sol, e tal ;)
sábado, outubro 17, 2009
I landed on an island
Novo link do meu blog. Trata-se do blog do Vicente que está a tirar um mestrado em Jornalismo nos UK.
Nations
Aquela panela com cuscus de uma côr estranha estava na bancada quando eu cheguei; hoje alguém teve esta brilhante ideia:
Até agora não deu grande resultado, mas amanhã, quem sabe...?
Adiante.
Decidi que hoje tinha de ir visitar as Nations de Lund. Tinha de as visitar todas para escolher uma para mim. São uma espécie de associações ou agrupamentos de estudantes, cada uma com o seu espaço, espalhadas por Lund. À partida têm cada uma o seu ambiente próprio - diz-se por exemplo que as de Malmö e Göteborg (entenda-se as Nations da Universidade de Lund Malmö's Nation e Göteborg's Nation) são snobs, para gente fina, portanto. Mais precisamente, costumam ser frequentadas por malta de Estocolmo. Aqui não posso deixar de chamar a atenção para esta maneira de o pessoal de fora da capital (leia-se neste caso - de Lund e/ou de Coimbra e/ou do Porto) tem de tecer preconceitos de snobismo em relação aos habitantes da capital. Não sei se se diz "snobismo"... Enfim.
A pergunta que podem agora estar a fazer é: a que propósito é que ela sente agora esta necessidade de aderir a um agrupamento estudantil? Coitadinha, deve-se se sentir tãããão sozinha.... Bem, não é essa a razão (ainda não entrei nessa fase depressiva do emigrante). Simplesmente, uma das características das Nations é que geralmente possuem um pub, e/ou restuarante, em que servem bebidas e comida por 1/5 de preço dos sítios convencionais. São portanto um local predilecto para saídas à noite dos Lundianos. MAS só se pode entrar ou trabalhar num pub/restaurante de uma Nation se se pertencer a uma (pode ser outra Nation qualquer). Claro que também têm outras actividades; organizam palestras, philosophy cafés, torneios desportivos, excursões, jantares de gala, brunches, etc, etc, etc. Pronto, também era uma forma de eu conhecer malta para além do pessoal do lab e cá de casa. Para mais informações sobre as Nations de Lund: http://www.lu.se/o.o.i.s/11589
Antes de sair de casa estive a ver as localizações de todas as Nations no mapa e decidi-me por um precurso que abarcava o maior número possível. Acabei por só visitar 2 (há 13). Estive à porta da Kalmar's Nation (que fecha ao Sábado) e na Östgotä Nation. Na Kalmar Nation estava um carataz publicitário ao restaurante deles que se chama: Biffen. Servem biffes, portanto. A 40 coroas suecas, o que equivale a... 4 euros! Interesting, isn't it? [nota: tenho estado a falar inglês 24h/24h, por isso não levem a mal estes lapsos]
Durante este meu passeio cheguei a tirar umas fotos:
Um dos edifícios da Universidade
Cores de Outono
Tricot nas grades. Era para anunciar uma exposição de artesanato se bem percebi...
Um telhado com musgo. No meio da cidade
Östgotä Nation
O céu visto do meu quarto
Pôr do sol (6h da tarde)
Até agora não deu grande resultado, mas amanhã, quem sabe...?
Adiante.
Decidi que hoje tinha de ir visitar as Nations de Lund. Tinha de as visitar todas para escolher uma para mim. São uma espécie de associações ou agrupamentos de estudantes, cada uma com o seu espaço, espalhadas por Lund. À partida têm cada uma o seu ambiente próprio - diz-se por exemplo que as de Malmö e Göteborg (entenda-se as Nations da Universidade de Lund Malmö's Nation e Göteborg's Nation) são snobs, para gente fina, portanto. Mais precisamente, costumam ser frequentadas por malta de Estocolmo. Aqui não posso deixar de chamar a atenção para esta maneira de o pessoal de fora da capital (leia-se neste caso - de Lund e/ou de Coimbra e/ou do Porto) tem de tecer preconceitos de snobismo em relação aos habitantes da capital. Não sei se se diz "snobismo"... Enfim.
A pergunta que podem agora estar a fazer é: a que propósito é que ela sente agora esta necessidade de aderir a um agrupamento estudantil? Coitadinha, deve-se se sentir tãããão sozinha.... Bem, não é essa a razão (ainda não entrei nessa fase depressiva do emigrante). Simplesmente, uma das características das Nations é que geralmente possuem um pub, e/ou restuarante, em que servem bebidas e comida por 1/5 de preço dos sítios convencionais. São portanto um local predilecto para saídas à noite dos Lundianos. MAS só se pode entrar ou trabalhar num pub/restaurante de uma Nation se se pertencer a uma (pode ser outra Nation qualquer). Claro que também têm outras actividades; organizam palestras, philosophy cafés, torneios desportivos, excursões, jantares de gala, brunches, etc, etc, etc. Pronto, também era uma forma de eu conhecer malta para além do pessoal do lab e cá de casa. Para mais informações sobre as Nations de Lund: http://www.lu.se/o.o.i.s/11589
Antes de sair de casa estive a ver as localizações de todas as Nations no mapa e decidi-me por um precurso que abarcava o maior número possível. Acabei por só visitar 2 (há 13). Estive à porta da Kalmar's Nation (que fecha ao Sábado) e na Östgotä Nation. Na Kalmar Nation estava um carataz publicitário ao restaurante deles que se chama: Biffen. Servem biffes, portanto. A 40 coroas suecas, o que equivale a... 4 euros! Interesting, isn't it? [nota: tenho estado a falar inglês 24h/24h, por isso não levem a mal estes lapsos]
Durante este meu passeio cheguei a tirar umas fotos:
Um dos edifícios da Universidade
Cores de Outono
Tricot nas grades. Era para anunciar uma exposição de artesanato se bem percebi...
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