Hoje de manhã saí de casa cedo, com os meus irmãos, para me vir inscrever a uma melhoria na faculdade. Acordei (dificilmente, certas pessoas sabem bem porquê) diferente, o pequeno-almoço não me soube como de costume, os meus passos nas escadas de madeira para ir para o carro também não soaram iguais e a luz do dia pareceu-me espectacular. Não estava com aquele peso no peito, aquele mau humor de quem teria gostado ficar mais tempo debaixo do edredon (sei que se escreve edredão mas acho que soa melhor ederdon). Apetecia-me MESMO saltar da cama (para isso faltou-me energia), sair de casa, apanhar o comboio em 7 Rios. Agora põe-se a questão: How’s that possible? OK, para quem possa ter ideias: NO, I’m NOT in love. O meu estado de bem-estar (que aqui até parece euforia, mas também não ia assim tão longe) era devido a algo que levava na mochila. Tatããã… suspense…
Bem, tenho de aprender a escrever introduções mais curtas. Na mochila levava… CHEGAAAAA!!! Levava a máquina fotográfica do meu pai. A máquina fotográfica, pronto. Com um rolo dentro (convém). Mas é que há séculos que não o fazia. Dei-me conta que não sou a mesma pessoa quando tenho uma máquina fotográfica comigo. O meu olhar não é o mesmo. Fica mais atento à beleza que me rodeia, seja ela qual for. Até a estação de 7rios me pareceu atraente, e o cais com as pessoas a enregelar em pé romântico, a viagem de comboio, que sempre foi um bom momento, tornou-se… num excelente momento. (Bem, isto foi péssimo, mas nem sempre consigo encontrar palavras para tudo). Até os vidros nojentos do comboio me inspiraram: ils diffusent la lumière du soleil, em bom português, e tornam a paisagem misteriosa, como numa cena cinematográfica.
Obviamente, o momento não foi perfeito: dei-me conta de que me tinha esquecido do segundo rolo em cima da minha secretária, só pude portanto acabar o que estava dentro da máquina (e praticamente no fim). Mas valeu a pena refrescar o meu olhar. Ou renová-lo? Até a viagem de TST, já na margem sul, foi inesquecível: os “espaços verdes” (ou descampados?) tinham a relva pintalgada de flores amarelas, as folhas das árvores estavam brilhantes, a relva da beira da estrada, na chegada à faculdade, estava branca de geada e também brilhava ao sol. Quando saí do autocarro as palmeiras destacaram-se aos meus olhos do azul do céu, as pedras da calçada tinham jogos de sombras com o sol rasteiro da manhã, reparei nas árvores que estão ao lado do 7 (edifício VII), altas, esguias, sem folhas, alinhadas contra a parede branca do edifício. Até vi um resto de neve ressequida!!!! (Sim, era neve de ontem, ainda na sombra de uma irregularidade do solo, prestes a derreter-se ao sol).
Que ninguém se sinta obrigado a ler este blog... a sério, só o fiz para ver como é, para publicar aquilo que me vem à cabeça... o que nem sempre é interessante. Ne vous sentez pas obligés de lire ce blog... je l'ai fait uniquement comme expérience, pour publier ce que je considère intéressant. Et tout est relatif. Surtout l'intéressance. Bref, bienvenue à mon blog! Bem-vindos ao meu blog!
terça-feira, janeiro 31, 2006
domingo, janeiro 29, 2006
quinta-feira, janeiro 26, 2006
MUSIQUE I
Oñati, Guipuzcoa, Pays Basque, Espagne, Europe, planète Terre, Système Solaire, année de 1999. Ou 2000? La date n'a de toute façon aucune importance. Tiens, ça me fait tout drôle d'écrire en français... Bref, j'étais une gamine de 11 ans environ, je venais d'avoir une année de solfège à l'école de musique du village, le moment était venu pour moi de choisir MON instrument. Un vrai, plus la flûte à bec de l'école primaire. Le point de départ de la construction de toute une part de moi-même, le début d'une nouvelle vie quotidienne, d'un nouveau défi, qui durerait en tout cas toute ma scolarité. Premier coup de tête: le piano.
MUSIQUE II
Môtiers, Canton de Neuchâtel, Suisse, Europe, ... etc. L'année: mon enfance? Mois d'août, moments magiques, uniques, fondamentaux parce que rares: 1 mois dans l'année. Grands-parents paternels, maison dans la campagne jurassienne, à l'odeur caractéristique (comme d'ailleurs toutes les maisons, mais à l'époque je ne m'en rendais pas encore compte), escaliers avec la moquette, que l'on ne peut monter qu'en pantoufles, ou en chaussettes, laissant les chaussures de la rue dans l'entrée. Ma chambre. Notre chambre ou, plutôt, celle des enfants; avec le lit à trois étages (actuellement il n'en a que 2) et... le piano. Noir, brillant, toutes ces touches, noires ou blanches, chacune avec une sonorité différente, sous l'énorme couvercle que les grandes personnes ouvrent doucement, avec respect. Au-dessus il y a les piles de cahiers de musique, centenaires, bicentenaires, jaunes comme des papyrus trouvés sous une pyramide.
Au moins une fois dans la journée:
- Grand-maman, est-ce que je peux jouer du piano, s'il te plaît?
- Est-ce que tu t'es lavé les mains?
- Oui!
- Alors, d'accord. Mais doucement, rappelle-toi des petits marteaux, il ne faut pas qu'ils abîment les cordes.
Je me déchausse en vitesse, pas le temps de défaire les noeuds de mes basquets, et je monte les escaliers à toute allure, les marches 2 par 2; arrivée dans la chambre je monte sur le banc tournant, le couvercle est déjà ouvert. J'invente des mélodies, me raconte des histoires; je passe du calme de la mer du large au chaos, tempête, orage, avec le super effet de la pédale de droite, et les mains à plat sur 3 ou 4 ou même 5 touches à la fois. Sur celles de tout à gauche, les graves. Mais jamais très longtemps, pour ne pas me faire gronder. Celles de tout à droite sont bien aussi, on se demande à chaque note si c'est possible de faire plus aigu. La dernière est tellement aigue qu'on ne l'entend presque pas.
Sinon des fois, pendant que je m'occupe à autre chose, j'entends grand-maman qui s'exerce, et je monte pour regarder. J'entre dans la chambre sur la pointe des pieds et me rends parfois compte qu'on est plusieurs, attirés par la musique. Soit je reste debout derrière grand-maman, un peu sur le côté pour voir ses mains, légères, et ses doigts qui se posent sur des touches, presque toujours les bonnes, on se demande comment; soit je grimpe sur le deuxième étage du lit, pour m'allonger et voir d'en haut. J'écoute la musique et m'amuse à entendre grand-maman s'énerver toute seule quand elle se trompe trop souvent (Mais... oh, et puis flûte!). Et puis quand elle finit et voit que je suis là, j'ai droit soit à une histoire (de neige le soir avec les flocons qui tombent dans la nuit et puis des monsieurs qui arrivent et se mettent à danser et les dames qui arrivent avec leurs belles robes et leurs rubans et qui dansent à leur tour et à la fin tout le monde danse ensemble et même les mains de grand-maman dansent en se croisant sur le clavier), soit... à un cours avec les petits cahiers de 4-mains, que grand-maman sort d'une pile, et qui ont déjà les pages toutes détachées c'est tout juste s'ils ne se défont pas en poussière. Là, je prends le deuxième banc et je m'assied à sa droite. Plus question de taper n'importe où; je repère ma touche de la main droite, puis celle de ma main gauche, et: 2 , 3 , (la voix de grand-maman, tout bas, on commence, concentration pour suivre le rythme, ne pas me tromper de doigt), on joue, on rejoue, et puis plus vite, et une autre, celle du petit cheval, celle de la marquise, celle du bateau, etc. Je ne me souviens plus des noms exacts des musiques. L'année suivante grand-maman me joue 2 ou 3 mélodies, à jouer toute seule, pour que j'en choisisse une à apprendre pendant les vacances, et puis je l'oublie pendant l'année et l'été suivant j'en apprends une autre, un petit peu plus dure, et ainsi de suite.
C'est pourquoi ce jour-là, de mes 11 ans, à Oñati, j'étais décidée à apprendre à jouer du piano sérieusement, pour de vrai, avec des cours, et un prof, et tout et tout, comme ma grande cousine Dominique, comme grand-maman quand elle était petite.
Au moins une fois dans la journée:
- Grand-maman, est-ce que je peux jouer du piano, s'il te plaît?
- Est-ce que tu t'es lavé les mains?
- Oui!
- Alors, d'accord. Mais doucement, rappelle-toi des petits marteaux, il ne faut pas qu'ils abîment les cordes.
Je me déchausse en vitesse, pas le temps de défaire les noeuds de mes basquets, et je monte les escaliers à toute allure, les marches 2 par 2; arrivée dans la chambre je monte sur le banc tournant, le couvercle est déjà ouvert. J'invente des mélodies, me raconte des histoires; je passe du calme de la mer du large au chaos, tempête, orage, avec le super effet de la pédale de droite, et les mains à plat sur 3 ou 4 ou même 5 touches à la fois. Sur celles de tout à gauche, les graves. Mais jamais très longtemps, pour ne pas me faire gronder. Celles de tout à droite sont bien aussi, on se demande à chaque note si c'est possible de faire plus aigu. La dernière est tellement aigue qu'on ne l'entend presque pas.
Sinon des fois, pendant que je m'occupe à autre chose, j'entends grand-maman qui s'exerce, et je monte pour regarder. J'entre dans la chambre sur la pointe des pieds et me rends parfois compte qu'on est plusieurs, attirés par la musique. Soit je reste debout derrière grand-maman, un peu sur le côté pour voir ses mains, légères, et ses doigts qui se posent sur des touches, presque toujours les bonnes, on se demande comment; soit je grimpe sur le deuxième étage du lit, pour m'allonger et voir d'en haut. J'écoute la musique et m'amuse à entendre grand-maman s'énerver toute seule quand elle se trompe trop souvent (Mais... oh, et puis flûte!). Et puis quand elle finit et voit que je suis là, j'ai droit soit à une histoire (de neige le soir avec les flocons qui tombent dans la nuit et puis des monsieurs qui arrivent et se mettent à danser et les dames qui arrivent avec leurs belles robes et leurs rubans et qui dansent à leur tour et à la fin tout le monde danse ensemble et même les mains de grand-maman dansent en se croisant sur le clavier), soit... à un cours avec les petits cahiers de 4-mains, que grand-maman sort d'une pile, et qui ont déjà les pages toutes détachées c'est tout juste s'ils ne se défont pas en poussière. Là, je prends le deuxième banc et je m'assied à sa droite. Plus question de taper n'importe où; je repère ma touche de la main droite, puis celle de ma main gauche, et: 2 , 3 , (la voix de grand-maman, tout bas, on commence, concentration pour suivre le rythme, ne pas me tromper de doigt), on joue, on rejoue, et puis plus vite, et une autre, celle du petit cheval, celle de la marquise, celle du bateau, etc. Je ne me souviens plus des noms exacts des musiques. L'année suivante grand-maman me joue 2 ou 3 mélodies, à jouer toute seule, pour que j'en choisisse une à apprendre pendant les vacances, et puis je l'oublie pendant l'année et l'été suivant j'en apprends une autre, un petit peu plus dure, et ainsi de suite.
C'est pourquoi ce jour-là, de mes 11 ans, à Oñati, j'étais décidée à apprendre à jouer du piano sérieusement, pour de vrai, avec des cours, et un prof, et tout et tout, comme ma grande cousine Dominique, comme grand-maman quand elle était petite.
segunda-feira, janeiro 23, 2006
vou jantar.
Estou farta de exameeeeeeeees!!!! 4 exames. É ridículo! São só 4. Cabem nos dedos de 1 mão! 1, 2, 3, 4. Já está. Porquê é que o suplício tem de durar quase um mês?! Quem instituiu isto deve ter tirado um doutoramento em tortura chinesa, não há hipótese! AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHRRRRRRRGGHHHHHHHHHHH!!!! (acabei de sair do de matemática, estou com os neurónios fritos, não liguem). Até fiquei com saudades do BAC, 8 exames numa semana (foram 8? Não me lembro…), a matar, mas passado uma semana acabou, agora assim… Felizmente todas as coisas boas têm um fim, e as más também. Como um PR indesejado, sabe-se à partida que mais de 10 anos não dura (o mandato são 5, não são? Acho que sim). A propósito, ontem houve eleições legislativas em Cabo Verde!!
José Maria Neves era um homem visivelmente satisfeito quando, cerca das duas da manhã, prestou as primeiras declarações de vitória. Além de agradecer ao eleitorado que votou no PAICV e reafirmar o propósito de melhorar o nível de vida dos cabo-verdianos, Neves declarou que se devem investigar os indícios de envolvimento do narcotráfico no financiamento de partidos políticos.
[…]
Eram 0h39m quando José Maria Neves subiu ao terraço da sede nacional do PAICV, no Plateau, e foi ovacionado por uma imensa multidão, de milhares de pessoas, durante vários minutos, com direito inclusive a fogos-de-artifício.
http://www.asemana.cv/article.php3?id_article=15248
Nada que se compare obviamente com o imenso entusiasmo popular depois da eleição do Novo Presidente de Todos os Portugueses.
Pronto, estagnei. Eu tinha começado a escrever com algo preciso em mente, a sério, não era sobre eleições que eu queria escrever o post!!! I swear!!!! Também não era sobre exames!!!! Era outra coisa, isto era apenas a introdução! …
Entretanto lembrei-me de uma frase eu li na Xis do sábado passado, na crónica da Faíza Hayat. Era mais ou menos assim (hoje estou com a memória estranha, não prometo nada): «Os mais jovens distinguem-se dos menos jovens porque estão sempre a fazer coisas pela primeira vez; os muito velhos distinguem-se dos menos velhos porque têm sempre a sensação de estar a fazer coisas pela última vez». Isto assim fica horrível, tenho de ir ver o original. No próximo século, quando conseguir encontrar a revista em questão (passo 1) e aceder à net (passo 2, não menos difícil), corrigirei o post. A crónica era a propósito de um costume: escrever listas daquilo que teremos de fazer pela 1ª vez. A autora costuma fazer uma de 12 elementos a para o ano novo (1 por mês), e refere-se na crónica a uma amiga que faz uma lista dessas por dia (não me lembro de quantos elementos). É uma forma de elixir da juventude, afinal de contas. Para o ano experimento. Acho que este já vai ter 1as vezes suficientes. (Pelo menos parece-me que as que foram dão para o ano todo... estou mesmo jovem.) Vou jantar, talvez me lembre do que queria realmente escrever.
José Maria Neves era um homem visivelmente satisfeito quando, cerca das duas da manhã, prestou as primeiras declarações de vitória. Além de agradecer ao eleitorado que votou no PAICV e reafirmar o propósito de melhorar o nível de vida dos cabo-verdianos, Neves declarou que se devem investigar os indícios de envolvimento do narcotráfico no financiamento de partidos políticos.
[…]
Eram 0h39m quando José Maria Neves subiu ao terraço da sede nacional do PAICV, no Plateau, e foi ovacionado por uma imensa multidão, de milhares de pessoas, durante vários minutos, com direito inclusive a fogos-de-artifício.
http://www.asemana.cv/article.php3?id_article=15248
Nada que se compare obviamente com o imenso entusiasmo popular depois da eleição do Novo Presidente de Todos os Portugueses.
Pronto, estagnei. Eu tinha começado a escrever com algo preciso em mente, a sério, não era sobre eleições que eu queria escrever o post!!! I swear!!!! Também não era sobre exames!!!! Era outra coisa, isto era apenas a introdução! …
Entretanto lembrei-me de uma frase eu li na Xis do sábado passado, na crónica da Faíza Hayat. Era mais ou menos assim (hoje estou com a memória estranha, não prometo nada): «Os mais jovens distinguem-se dos menos jovens porque estão sempre a fazer coisas pela primeira vez; os muito velhos distinguem-se dos menos velhos porque têm sempre a sensação de estar a fazer coisas pela última vez». Isto assim fica horrível, tenho de ir ver o original. No próximo século, quando conseguir encontrar a revista em questão (passo 1) e aceder à net (passo 2, não menos difícil), corrigirei o post. A crónica era a propósito de um costume: escrever listas daquilo que teremos de fazer pela 1ª vez. A autora costuma fazer uma de 12 elementos a para o ano novo (1 por mês), e refere-se na crónica a uma amiga que faz uma lista dessas por dia (não me lembro de quantos elementos). É uma forma de elixir da juventude, afinal de contas. Para o ano experimento. Acho que este já vai ter 1as vezes suficientes. (Pelo menos parece-me que as que foram dão para o ano todo... estou mesmo jovem.) Vou jantar, talvez me lembre do que queria realmente escrever.
segunda-feira, janeiro 16, 2006
a propósito de bebés...
Estive hoje de manhã a ler a parte mais interessante da cadeira de introdução à biologia (seria interessante se fosse dada de outra maneira, mas enfim): o aspecto histórico.
Primeiro, a Grécia Antiga, com Hipócrates e Aristóteles (pelo que está nos acetatos, é o fundador da biologia). O Hipócrates inventou a ideia do “corpus hipocrático”: as partes do corpo humano seriam constituídas pelos 4 elementos (fogo, água, ar e terra) representados pelas 4 partes do corpo (fígado, bílis, pulmões, e baço) e responsáveis por 4 temperamentos (sanguíneo, bilioso, fleumático e colérico). A saúde sendo resultado do equilíbrio entre estes 4 humores. Pelo que percebi, no sangue circulariam “miniaturas” destas 4 partes do corpo, que, uma vez passadas para o sémen, seriam transmitidas à geração seguinte. Não sei se na altura já se denominava desta maneira, mas actualmente chamamos-lhe teoria préformista. Aristóteles opôs-se a esta teoria. A dele era muito mais “à frente”. Ele afirmava que o embrião era o resultado da associação do sémen (do homem), substância energética e regeneradora (tipo pó de perlimpimpim), e da matéria física e sem vida à partida: o sangue menstrual da mulher. E pooh! Fez-se o chocapic.
Depois, no tempo de Roma, no século 1a.c., houve um senhor chamado Lucrécio (supostamente precursor da genética, é o que afirmam os acetatos) formulou a ideia (penso que a palavra ainda não era usada) de dominância: se na altura na união dos gâmetas (entendam-se as sementezinhas do pai e da mãe, acho que a palavra gâmeta também não existia todavia), durante o “acto”, a mulher tivesse mais energia, a criança seria parecida com ela, caso contrário, teria mais características paternas.
Pronto, depois a biologia evoluiu, as ideias em relação à hereditariedade e à pergunta “como são feitos os bebés?” mudaram e perderam um bocado a piada…
Bem, no século XVII, existia ainda a teoria préformista, com o Homunculus. Pensava-se que o existia um ser humano inteiro em miniatura dentro dos gâmetas, mas atenção! Duas escolas rivalizavam: a escola ovista pretendia que o Homunculus estava no óvulo da mulher e que o esperma servia simplesmente para o regar e estimular o seu crescimento; e a escola espermista afirmava que não senhora, o Homunculus estava mas era nos espermatozóides (o microscópio já havia sido inventado) e que a contribuição da mulher se resumia ao ventre para o Homunculos se desenvolver, tipo saco. A partir daqui, no século XVIII, século das Luzes e tal, a Biologia tornou-se uma ciência experimental e exacta… com as terorias celulares, as embriologias, as leis da hereditariedade de Mendel publicadas em 1866 (nas quais se baseia grande parte da genética clássica actual) e que, coitadinho do senhor, só foram descobertas e divulgadas por volta de 1900 por um senhor chamado Hugo de Vries (holadês), a teoria da evolução, a teoria cromossómica da herança, etc, etc, etc…
Pronto, tenho de me ir embora a correr, mas se houver pessoal de bcm a ler isto (Mitch, conto contigo!!) e descobrir erros imperdoáveis, não hesite em dizer qualquer coisa. Bem, se não for de bcm também pode encontrar erros, nesse caso avisem também!
Primeiro, a Grécia Antiga, com Hipócrates e Aristóteles (pelo que está nos acetatos, é o fundador da biologia). O Hipócrates inventou a ideia do “corpus hipocrático”: as partes do corpo humano seriam constituídas pelos 4 elementos (fogo, água, ar e terra) representados pelas 4 partes do corpo (fígado, bílis, pulmões, e baço) e responsáveis por 4 temperamentos (sanguíneo, bilioso, fleumático e colérico). A saúde sendo resultado do equilíbrio entre estes 4 humores. Pelo que percebi, no sangue circulariam “miniaturas” destas 4 partes do corpo, que, uma vez passadas para o sémen, seriam transmitidas à geração seguinte. Não sei se na altura já se denominava desta maneira, mas actualmente chamamos-lhe teoria préformista. Aristóteles opôs-se a esta teoria. A dele era muito mais “à frente”. Ele afirmava que o embrião era o resultado da associação do sémen (do homem), substância energética e regeneradora (tipo pó de perlimpimpim), e da matéria física e sem vida à partida: o sangue menstrual da mulher. E pooh! Fez-se o chocapic.
Depois, no tempo de Roma, no século 1a.c., houve um senhor chamado Lucrécio (supostamente precursor da genética, é o que afirmam os acetatos) formulou a ideia (penso que a palavra ainda não era usada) de dominância: se na altura na união dos gâmetas (entendam-se as sementezinhas do pai e da mãe, acho que a palavra gâmeta também não existia todavia), durante o “acto”, a mulher tivesse mais energia, a criança seria parecida com ela, caso contrário, teria mais características paternas.
Pronto, depois a biologia evoluiu, as ideias em relação à hereditariedade e à pergunta “como são feitos os bebés?” mudaram e perderam um bocado a piada…
Bem, no século XVII, existia ainda a teoria préformista, com o Homunculus. Pensava-se que o existia um ser humano inteiro em miniatura dentro dos gâmetas, mas atenção! Duas escolas rivalizavam: a escola ovista pretendia que o Homunculus estava no óvulo da mulher e que o esperma servia simplesmente para o regar e estimular o seu crescimento; e a escola espermista afirmava que não senhora, o Homunculus estava mas era nos espermatozóides (o microscópio já havia sido inventado) e que a contribuição da mulher se resumia ao ventre para o Homunculos se desenvolver, tipo saco. A partir daqui, no século XVIII, século das Luzes e tal, a Biologia tornou-se uma ciência experimental e exacta… com as terorias celulares, as embriologias, as leis da hereditariedade de Mendel publicadas em 1866 (nas quais se baseia grande parte da genética clássica actual) e que, coitadinho do senhor, só foram descobertas e divulgadas por volta de 1900 por um senhor chamado Hugo de Vries (holadês), a teoria da evolução, a teoria cromossómica da herança, etc, etc, etc…
Pronto, tenho de me ir embora a correr, mas se houver pessoal de bcm a ler isto (Mitch, conto contigo!!) e descobrir erros imperdoáveis, não hesite em dizer qualquer coisa. Bem, se não for de bcm também pode encontrar erros, nesse caso avisem também!
citations littéraires... ou scientifiques?
Si un être humain est un jour confronté à mon témoignage, il sera conduit à se mettre à ma place. Se souviendra-t-il qu'il fut ce que ses propres médecins appellent un zygote, une sorte d'animalcule qui a hésité pendant quelques jours avant de choisir un endroit où s'implanter dans la muqueuse utérine de sa mère (...)?
François WEYERGANS, la Vie d'un bébé, p. 102.
Fruit inattendu d'une recherche (vaine) sur l'étymologie de quelques termes relatif aux différentes phases de la prophase I de méiose, dans le Grand Robert de la langue française. J'ai trouvé impressionnant qu'il existe des auteurs littéraires capables d'introduire des mots pareils dans leurs ouvrages... =P
pour les pas scientifiques DU TOUT:
(ZYGOTE n. m. – Biol. Oeuf fécondé, produit de l'union des gamètes.)
François WEYERGANS, la Vie d'un bébé, p. 102.
Fruit inattendu d'une recherche (vaine) sur l'étymologie de quelques termes relatif aux différentes phases de la prophase I de méiose, dans le Grand Robert de la langue française. J'ai trouvé impressionnant qu'il existe des auteurs littéraires capables d'introduire des mots pareils dans leurs ouvrages... =P
pour les pas scientifiques DU TOUT:
(ZYGOTE n. m. – Biol. Oeuf fécondé, produit de l'union des gamètes.)
segunda-feira, janeiro 09, 2006
Feira da Ladra
Porquê é que a Feira da Ladra tem tão má fama? O pessoal só pensa em tráfico de droga, objectos roubados, pickpocket… Não nego que haja tudo isso, mas depende da zona em que se está... também há aqueles stands com livros, discos, k7s pirata em segunda, terceira, quarta mão, artesanato (brincos pulseiras, etc, mas também trabalhos de couro, costura…) Africanos com aquelas bugigangas de madeira, índios latino-americanos (quase todos com os mesmos produtos, mas dá para comparar os preços), tugas a vender roupa de marca a preços de fábrica… antiguidades, bandas desenhadas de há 3 séculos, artigos de “bricolage”… enfim, montes de coisas. E ainda por cima anda lá todo o tipo de pessoas, desde turistas maravilhados a malta alternativa, “mitras”, senhoras bem, … e dá para regatear!!! É o único sítio em que gosto mesmo de fazer shopping.
Anteontem fui à lá e fiquei desolada por não se poder andar com máquina fotográfica… Estava ali na zona mais “underground” lá atrás e vi passar um tipo com cabelo comprido, todo com rastas, casaco podre, saco de couro todo coçado, barba de três dias, exalando aquela fragrância que se pode imaginar de tal indivíduo a três kilómetros. Ao lado caminhava um cão preto, rafeiro, com… um livro na boca! O bicho passeava ao lado do dono (suponho que aquele era o dono) com um policial entre os dentes, daqueles livros de bolso, de capa preta e páginas amareladas, com os cantos ligeiramente retorcidos, como se tivesse sido folheado, lido, dezenas de vezes… visão inesquecível.
Anteontem fui à lá e fiquei desolada por não se poder andar com máquina fotográfica… Estava ali na zona mais “underground” lá atrás e vi passar um tipo com cabelo comprido, todo com rastas, casaco podre, saco de couro todo coçado, barba de três dias, exalando aquela fragrância que se pode imaginar de tal indivíduo a três kilómetros. Ao lado caminhava um cão preto, rafeiro, com… um livro na boca! O bicho passeava ao lado do dono (suponho que aquele era o dono) com um policial entre os dentes, daqueles livros de bolso, de capa preta e páginas amareladas, com os cantos ligeiramente retorcidos, como se tivesse sido folheado, lido, dezenas de vezes… visão inesquecível.
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